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Le Jeudi 9 Octobre

Si les jeunes réunionnais aiguisent leur regard devant les films de la sélection, ils peuvent également dialoguer avec des professionnels de l’image au cours de rencontres privilégiées.

Dans un esprit d’échange, réalisateurs et journalistes évoquent leur parcours et leurs points de vue, partagent leurs expériences et leurs savoirs. Une approche concrète du cinéma pour une éducation à l’image ludique et conviviale.


Souvenirs d’enfance

Il est celui par qui tout commence, inévitablement associé à un lieu, une date, un membre de notre famille. Il nous marque fortement et nous impressionne durablement, telle la pellicule ; d’abord en tant que spectateur, ensuite aussi parfois en tant que personne. Il est NOTRE film d’enfance. Chacun le sien ! Celui de Laurent Weil, journaliste bien connu du paysage audiovisuel français, est mythique : Le Kid de Charlie Chaplin.

Les images de ce chef-d’oeuvre du 7e art, énorme succès dès sa sortie en 1921, est dans toutes les mémoires : la tendre complicité d’un vitrier désargenté et d’un enfant abandonné, les courses-poursuites haletantes avec la police, le visage déchiré de douleur lors de la séparation des deux compères ou la tendresse exprimée lors des retrouvailles. Pour son premier long métrage, Charlie Chaplin frappe fort en signant l’un des plus beaux mélos du cinéma, sans sentimentalisme ni pathos exagéré. Entre drame et comédie, Le Kid délivre un témoignage poétique et universel sur la misère et l’injustice autant qu’un hymne bouleversant à l’amour.

✤ Jeudi 9 octobre à 9h30 au Ciné Cambaie à Saint-Paul
Le Jeudi 9 Octobre

Si les jeunes réunionnais aiguisent leur regard devant les films de la sélection, ils peuvent également dialoguer avec des professionnels de l’image au cours de rencontres privilégiées.

Dans un esprit d’échange, réalisateurs et journalistes évoquent leur parcours et leurs points de vue, partagent leurs expériences et leurs savoirs. Une approche concrète du cinéma pour une éducation à l’image ludique et conviviale.


Le film noir : les lois du genre

Daniel, ex-flic et recouvreur de dettes, enquête sur la disparition d’une adolescente. Pour Disparue en hiver, son deuxième film présenté en compétition officielle, Christophe Lamotte choisit de se confronter au film de genre, le thriller. Comment s’empare-t-on de ses codes, comment les renouvelle-t-on ? Quels sont les écueils à éviter et les incontournables à respecter ? Au-delà de l’histoire, en quoi et surtout comment la mise en scène, la direction d’acteurs ou la musique participent-elles à créer une atmosphère propice au suspense de l’enquête ? Le réalisateur délivre ses secrets de fabrication.

En amont du tournage, il détaillait déjà ses intentions : « Nous tenons à accorder aux corps, aux états qu’ilstraversent, une attention toute particulière. En l’occurrence, nous filmerons le corps de Daniel, le personnage principal, comme une machine qui, doucement, se remet en route. Une machine compressée, tendue, intouchable, au bord de l’explosion. La caméra ne le laissera jamais en paix, cherchant à voir, à scruter, même si cela est invisible, la nuit dans laquelle il se débat. »

✤ Jeudi 9 octobre à 9h30 à l’Espace culturel Leconte de Lisle (Léspas) à Saint-Paul
Le Vendredi 10 Octobre

Si les jeunes réunionnais aiguisent leur regard devant les films de la sélection, ils peuvent également dialoguer avec des professionnels de l’image au cours de rencontres privilégiées.

Dans un esprit d’échange, réalisateurs et journalistes évoquent leur parcours et leurs points de vue, partagent leurs expériences et leurs savoirs. Une approche concrète du cinéma pour une éducation à l’image ludique et conviviale.


La leçon du président par Claude Lelouch

Le président de cette 10e édition est un fou de la caméra qui a traversé un demi-siècle de cinéma en entraînant les plus grands acteurs français dans sa farandole d’images et d’histoires. Claude Lelouch est mondialement connu et respecté. Les récompenses qui jalonnent sa riche filmographie - Palme d’or, Oscar, Golden Globe… - en sont un éclatant témoignage. Son style inimitable est reconnaissable entre tous : histoires chorales, flash-backs, caméra à l’épaule, dialogues improvisés, interférence entre la grande et la petite Histoire… ont nourri de nombreux films comme Les Uns et les autres, La Belle Histoire ou Les Misérables.

Lors d’une rencontre exceptionnelle, le cinéaste, également scénariste-cadreur-producteur, se livre : « Pour moi, la caméra est un oeil. Je lui ai tout fait faire mais je me suis aperçu qu’il fallait filmer à hauteur d’homme. Dans Ces amours-là ou Roman de gare, j’ai complètement changé ma technique en filmant à hauteur du regard. Il m’a fallu 50 ans pour comprendre ça. Il faut que la caméra soit au plus proche des émotions, et surtout qu’elle puisse aller filmer l’inconscient des acteurs. » (Studio CinéLive, septembre 2010)

✤ Vendredi 10 octobre à 14h00 à l’Espace culturel Leconte de Lisle (Léspas) à Saint-Paul
Le Vendredi 10 Octobre

Si les jeunes réunionnais aiguisent leur regard devant les films de la sélection, ils peuvent également dialoguer avec des professionnels de l’image au cours de rencontres privilégiées.

Dans un esprit d’échange, réalisateurs et journalistes évoquent leur parcours et leurs points de vue, partagent leurs expériences et leurs savoirs. Une approche concrète du cinéma pour une éducation à l’image ludique et conviviale.


Le métier de journaliste de cinéma

rendre compte intelligiblement auprès de lecteurs-spectateurs qui ne les ont pas encore découverts, donner envie et/ou son avis... : le journalisme de cinéma est une vraie spécialité, avec ses règles, ses objectifs et ses figures emblématiques. À l’heure des réseaux sociaux, des tweets lapidaires et des blogs personnels, le Festival choisit de s’interroger sur la pratique du journaliste dans le domaine de l’art et du cinéma, en compagnie de Laurent Weil. Passionné du 7e art, l’actuel monsieur cinéma de la chaîne cryptée débute en tant que chroniqueur sur les ondes. En 1987, il rejoint M6 et présente l’émission hebdomadaire Ciné6 puis Projection privée. Après la radio et la télévision, Laurent Weil s’oriente vers la presse écrite et participe en 1997 à la création du mensuel CinéLive dont il est le rédacteur en chef jusqu’en mars 2003. En 2000, il rejoint le groupe Canal+ dont il devient le porte-parole cinéma. Tous les ans, il commente la cérémonie des Oscars® en direct de Los Angeles et la montée des marches du Festival de Cannes auquel il assiste depuis 1985.

✤ Vendredi 10 octobre à 14h00 au Lycée Évariste de Parny à Saint-Paul